Haute école des arts du Rhin

Mulhouse — Strasbourg

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Illustration


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© Maxime Sabourin 

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© Margaux Duchêne 

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© Nyctalope magazine 

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© Orane Sigal 

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© Maïté Grandjouan 

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La spécificité de l’atelier d’Illustration est d’accompagner les étudiants dans un processus de création autonome et singulier, les amener à développer un travail d’auteur et faire éclore la personnalité de chacun en préservant son authenticité. Construire un univers, le nourrir et lui permettre de s’épanouir puis rencontrer le public à travers des supports multiples, que ce soient ceux de l’édition : livre, presse, jeunesse, bande dessinée, édition numérique ou, par extension, ceux des arts voisins : art plastique, cinéma, théâtre, jeu ou médias interactifs, c’est bien là le défi perpétuel que se propose de relever l’atelier d’Illustration.


Pédagogie

Ce langage produit paradoxalement une lecture accessible au plus grand nombre. C’est là aussi un aspect important de la formation : la prise en compte du lecteur, ce qui demande de la part des auteurs d’images une forme d’humilité, et l’élimination de toute forme de complaisance.

La spécificité de l’atelier d’Illustration est d’encourager les étudiants à s’atteler à ce travail d’auteur, autonome et singulier, quand bien même d’aucuns diront qu’être auteur ne s’apprend pas.

 

Mais développer un univers, le nourrir et lui permettre de s’épanouir, d’exister au sein de supports multiples (le livre « papier » bien entendu, mais aussi l’édition numérique et par extension toute forme de projet liée à Internet et au médias interactifs), c’est bien là le défi perpétuel que se propose de relever l’équipe pédagogique de l’atelier d’Illustration : faire éclore la personnalité de chacun sans l’altérer.

Diplômes préparés
– DNA Communication mention Illustration, obtenu à l’issue de l’année 3 (niveau licence III)
– DNSEP Communication mention Illustration, obtenu à l’issue de l’année 5 (grade master II)

Intégration à l’issue de l’année 2 au sein du cursus de l’école, ou par commission d’équivalence en années 3 et 4.

Contact Scolarité
Kay-Uwe May
+33 (0)3 69 06 37 86
kay-uwe.may@hear.fr

L’équipe pédagogique

Un enseignement spécifique en années 3,4 et 5

© DR

Au sein de l’atelier d’Illustration, une bonne maîtrise des outils propres au domaine est de rigueur pour étayer solidement des facultés aussi fragiles que la sensibilité et l’imagination. Expérimentations graphiques, recherche du style graphique, mise en scène, scénario, récit, personnage, couleur… sont quelques-uns des éléments clés constitutifs de la pédagogie.

1er cycle
Le grand enjeu des années 2 et 3 est le « débroussaillage ». Dans la jungle des possibles et des envies, il s’agit de parvenir à trouver sa route, utiliser ses références, ses influences, avec recul et discernement, afin de forger ses outils et trouver son écriture propre. Riches en expérimentations graphiques, techniques narratives, conceptuelles, ces années visent à générer des images évidentes et claires dans leurs intentions. Les multiples exercices et les travaux obligatoires sont élaborés pour amorcer et entretenir cette démarche, tout en commençant à aborder les exigences du monde professionnel.

© DR

2e cycle

Les deux années du master tendent à favoriser le travail en autonomie des étudiants. Après avoir répondu à des sujets basés sur des commandes éditoriales pour la plupart, et riches d’expériences en partenariat ou en stages, ils développent des projets personnels situés dans un champ large par rapport au domaine, de l’album illustré, en passant par le film d’animation, jusqu’à la conception d’œuvres numériques ou d’installations. L’élaboration d’un mémoire est demandée dès l’année 4. La finalité de cet enseignement est d’encourager l’autonomisation d’étudiants et de faciliter leur insertion dans le ou les milieux professionnels, les usages de l’illustration s’étant aujourd’hui élargis, voire déplacés.


Un travail d’auteur, autonome et singulier

Illustration / Sotero

L’atelier d’Illustration est né en 1974 à l’initiative de l’illustrateur Claude Lapointe et occupe une place à part parmi les écoles d’art françaises. Il développe le langage de l’image narrative et son rapport au texte. Ce langage, complexe dans son apprentissage, produit une lecture accessible au plus grand nombre.

La spécificité de l’atelier d’Illustration est d’accompagner les étudiants dans un processus de création autonome et singulier, un travail d’auteur et de faire éclore la personnalité de chacun en préservant son authenticité. Construire un univers, le nourrir et lui permettre de s’épanouir, d’exister au sein de supports multiples (le livre, l’édition numérique et par extension toute forme de projet lié à internet et aux médias interactifs), c’est bien là le défi perpétuel que se propose de relever l’atelier d’Illustration.


Un territoire d’imprimés

© Antoine Lejolivet

L’atelier d’Illustration de la HEAR s’insère dans un paysage dédié à l’image imprimée. La ville de Strasbourg, marquée par la figure de Gutenberg, a su tisser un réseau de structures artistiques inscrites à une échelle nationale et internationale, formant un support pour les jeunes artistes formés à la HEAR : musée Tomi Ungerer – centre international de l’illustration, festival Central Vapeur, éditions 2024, Rencontres de l’illustration, etc.

Des projets collectifs d’étudiants, constituant au départ des publications en édition restreinte, sont devenus au fil du temps de véritables périodiques, revues avant-gardistes d’image, d’illustration et de bande dessinée, distribuées dans des réseaux professionnels : Belles Illustrations, Nyctalope, Vignette, Psoriasis, Pan, Zuper…


Trois mentions pour une option

L’option Communication de la HEAR est constituée des ateliers Communication graphique, Didactique visuelle et Illustration, portant une même attention à l’actualité et à l’évolution de la création contemporaine. Cette organisation pédagogique originale fonde sa logique sur la spécificité des métiers auxquels se destinent nos étudiants. Si chaque atelier envisage ses formations adaptées de manière autonome, ils partagent tous une même ambition :

lire avec vigilance le monde des signes visuels qui nous entoure, donner à voir et à entendre ce qui fait la force des images et des textes, développer des paroles d’auteurs engagés dans des pratiques graphiques inscrites dans le réel et répondre graphiquement à des questionnements contemporains. La communication visuelle — du papier au numérique, du livre à l’audiovisuel — induit la prise en compte d’une commande et de son destinataire.

C’est à cette maîtrise méthodologique que sont exercés pas à pas nos étudiants. Une deuxième année menant aux trois ateliers propose un enseignement commun et complémentaire, animé par des représentants des trois ateliers. À son issue, et avec l’accord des enseignants, l’étudiant s’oriente vers l’un des ateliers de l’option.

 

 


Une année 2 commune

En deuxième année, l’option Communication propose un enseignement commun animé par des représentants des trois ateliers (Communication graphique, Didactique visuelle, Illustration). Avant toute spécialisation, l’objectif est de donner à l’étudiant des éléments d’appréciation comme d’usage des pratiques mises en place dans ces domaines. Cela signifie aussi une immersion totale et un travail d’apprentissage qui prend en compte les spécificités des trois disciplines. L’ouverture que représente cette transversalité au sein de l’option est à considérer dans sa richesse et dans sa complémentarité : chaque apprentissage nourrit l’autre, chaque atelier, en développant des logiques propres à ses domaines, ouvre des perspectives, des façons de traiter un problème posé et par là améliore le point de vue de l’étudiant, augmente son périmètre prospectif et créatif.

Après le semestre 3, où l’ensemble des cours est obligatoire, car complémentaire, au semestre 4, l’étudiant devra suivre obligatoirement 1 des 2 cours proposés par chaque atelier et 1 autre cours au minimum. C’est pourquoi, quel que soit le choix final d’atelier, il semble bon d’insister sur la complémentarité des cours dispensés comme de leur caractère obligatoire. À l’issue de cette année, au vu des travaux présentés et après un dialogue avec les responsables des formations, les étudiants sont orientés vers l’un des trois ateliers.

Un nombre de places est fixé en fonction des trois mentions, ce de la manière suivante :
• Communication graphique : 8 places maximum
• Didactique visuelle : 8 places maximum
• illustration : 10 places maximum


Un exceptionnel support d’ateliers

Photo Tony Trichanh

Sur son site de Strasbourg, la Haute école des arts du Rhin propose un choix très important d’ateliers et d’équipements techniques qui permettent aux étudiants de découvrir ou d’approfondir, aux côtés de techniciens et d’assistants spécialisés, un choix exceptionnel de pratiques : numérique, gravure et lithographie, sérigraphie, prépresse, façonnage, photographie, vidéo, animation 2D et numérique, livres, etc.

Espaces charnières en lien avec l’ensemble des disciplines enseignées à l’école, différents points de vue et approches s’y croisent. Les ateliers sont à la fois des lieux de formation, associés à la pédagogie de la mention Illustration, mais aussi des lieux de pratiques expérimentales.


Anciens étudiants

Benjamin Adam (Prix Polar Festival d’Angoulême, La Pastèque, Dargaud) • Thomas Baas (Actes Sud Jeunesse, Nathan, Glénat Jeunesse)
• Daniel Blancou (Futuropolis, Delcourt, Sarbacane) • Serge Bloch (Bologna Ragazzi Award, The Washing-ton Post, The Wall Street Journal, The New York Times, The Los Angeles Times, série Sam Sam) • Blutch (Grand Prix Festival d’Angoulême Libération, New Yorker, Les Inrockuptibles, Fluide glacial, Dupuis, Dargaud) • Boulet (Blog Boulet Corp, Notes Delcourt) • Benjamin Chaud (Série Pomelo, nomination prix Astrid Lindgren) • John Coven (réalisateur / concepteur de story-board à Hollywood, Le Roi Lion, Jumanji, Captain America, Jurassic World, Godzilla, X-Men, The Usual Suspects, etc.) • Thomas Ehretsmann (New Yorker, Rolling Stone, Portrait Award à la National Gallery de Londre) • Marion Fayolle (Prix Festival d’Angoulême, New York Times, Cotélac) • Christian Heinrich (série Les Petites Poules) • John Howe (directeur artistique Le Seigneur des anneaux, Le Hobbit) • Simon Hureau (Prix Festival d’Angoulême, Fauve Polar SNCF) • Daniel Jeanneteau (Metteur en scène et Directeur du Théâtre de Gennevilliers) • Camille Jourdy (Prix Festival d’Angoulême, Pépite du Salon de Montreuil, Actes Sud BD) • Amandine Laprun (Actes Sud, Gallimard, Nathan, Delcourt) • François Malingrëy (prix du Salon de Montrouge) • Lisa Mandel (Prix Tam Tam, Prix Artemisia, Pépite du Salon de Montreuil, Casterman, Le Monde) • Catel Muller (Prix Festival d’Angoulême, Libération, Casterman, Grasset)
• Mayumi Otero et Raphaël Urwiller (Icinori) • Delphine Perret (Prix Sorcières, Prix Tam Tam et Pépite du Salon de Montreuil) • Clothilde Perrin (Editions Magnard, Nathan, Didier Jeunesse, Gallimard) • Matthias Picard (Jim Curious, La B.O de – M -, éditions 2024) • Anne-Margot Ramstein (Pensionnaire de la Villa Médicis, Bologna Ragazzi Award, Albin Michel) • Anouk Ricard (Casterman, Sarbacane, 2024) • Simon Roussin (Prix Festival d’Angoulême, éditions 2024) • Mathieu Sapin (Campagne présidentielle, Le Château – une année dans les coulisses de l’Élysée) • Marjane Satrapi (Prix Festival d’Angoulême, Festival de Cannes, César du meilleur premier film) • Thibaut Soulcié (dessinateur de presse Télérama, Libération)…